Soigner son animal malade.

On aime tous nos petits animaux de compagnie, ils font partie de notre quotidien et on les considère souvent comme des membres de la famille. Pourtant, prendre soin d’eux n’est pas toujours facile.

Reconnaître la douleur et la maladie chez un animal.

Du fait qu’il ne peut pas l’exprimer par des mots, il est difficile pour nous de déceler un état de faiblesse chez eux. Ces signes peuvent varier d’une espèce à une autre et vont également dépendre du caractère de votre petite bête. Par exemple chez un chien ou un chat, on remarquera tout de suite la perte d’appétit, la truffe chaude, le léchage intensif d’une partie du corps. Concernant le chien en particulier, il se peut qu’il ne fasse plus la fête quand il voit quelqu’un, qu’il isole, ou au contraire devienne particulièrement collant. Chez le chat, on s’inquiétera davantage du fait qu’il ne fasse plus sa toilette ou qu’il ne saute plus.

Trouver un bon vétérinaire.

En région PACA-CORSE, on compte 1500 vétérinaires. La réputation d’un professionnel se fait souvent par le bouche-à-oreille. Vérifiez qu’il est spécialiste de votre animal. Par exemple, si vous avez un furet, un serpent ou un lapin, rechercher une clinique NAC (nouveaux animaux de compagnie). Les quatre grandes écoles vétérinaires de France comme celle de Toulouse, Lyon, Maisons-Alfort et Nantes, offrent des prestations d’excellente qualité sous la supervision de professionnels réputés.

Assumer le prix des soins.

Amener un animal chez un professionnel de santé pour animaux est toujours une épreuve, d’une part pour les nerfs, du fait de l’inquiétude que cela génère, et d’autre part pour le portefeuille. Les vétérinaires ont dû acheter de nombreux appareils pour effectuer l’ensemble des actes médicaux (radio, labo, scanner, bloc stérile, matériel d’anesthésie, ECG…). Contrairement, aux médecins spécialistes, ils doivent amortir beaucoup plus d’investissements, et cela se répercute sur la facture bien entendu. Aujourd’hui, les mutuelles pour animaux se développent de plus en plus. Tout comme en médecine humaine, elles vous proposent de cotiser pour alléger les frais de soin de vos compagnons.

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